A mon tendre ami
Notre amitié a commencée un jour d'automne,
un soir pas monotone
Un petite vent soufflait
l'un vers l'autre, ce fin "Mystral nous poussait,
Il avait vent
de nos égarements
Je te regardais, t'observais,
ton amour des mots m'impressionnait
D'admiration, j'en restais muette de peur,
devant tant d'ardeur,
et sous ta plume, nos rêves imaginaires,
devenaient repaires
De ces lendemains, tu m'as prise par la main
pour me montrer le chemin
et comme deux fugitifs,
nous suivions le phénix
Pour cette quête de la vie,
sans retenue, notre esprit le suivi
Alors, de ton cœur surgit ces sentiments profonds
qui sont arrivés avec passion,
pour m'apporter tous ces moments de bonheur,
qui sont désormais emprisonnés dans mon cœur
Christine |
